jeux de mots avec Christelle

Publié le par LES 9-11 DU BAOBAB



TEXTES ECRITS LE 14 MAI.


Par Salomé

Dans ma chambre des fois…

Un lit parle d’une maladie,

Une trousse marque des courses,

Des crayons gagnent un chignon,

Des vêtements croquent dans un pansement,

Une armoire boit dans une baignoire,

Un tapis décroche des chichis,

Un bureau ment à son cadeau,

Des sacs lisent dans un lac,

Une bouteille raconte de l’oseille,

Une lampe avoue une crampe.

C’est génial !



Par Leïla

Si dans ma chambre il y avait…

Un yoyo qui joue sur un bureau,

Un cochon qui mange des bonbons,

Des habits qui fleurissent sans soucis,

Un rossignol qui pleure sur un coussin de sol,

Des peluches qui dorment dans une ruche,

Un grigri qui vit sur un lit plein de pissenlits,

Un attrape-rêve qui rêve de mauvais rêves,

Ma nièce qui oublie une chaise,

Deux revues qui boivent un jus de tutu,

Une clé qui danse sur un oreiller,

Des vers de terre qui défont des posters,

Un livre qui mange des olives,

Une armoire qui s’assoit sur la Loire,

Des jouets qui travaillent sur un paquet,

Une commode qui salue la mode,

Une lampe qui finit une crampe,

Ce serait génial !


Par Mathieu

Si ma chambre avait…

Un punching-ball qui écrirait des histoires de voyageurs aux pôles,

Un pistolet qui fait pan et quand il est fatigué lit un roman,

Un escargot très lent qui cuisine en se déguisant,

Une armoire grise qui chauffe la Tamise,

Une armoire cassée qui se réchauffe en se donnant une fessée,

Ma chambre serait super !





Autre version du même auteur :

J’ai écris un voyage aux pôles et pour me détendre j’ai fait du punching-ball,

J’ai joué avec un pistolet qui fait pan et comme j’étais fatigué j’ai lu un roman,

J’ai cuisiné un escargot très lent en me déguisant,

J’ai chauffé la Tamise dans une armoire grise,

J’ai réchauffé une armoire cassée en me donnant une fessée.


Autre texte du même auteur :

Ma chambre

Ma mère n’aime ranger mes affaires,

Et encore moins mon pistolet qui fait mes romans,

Et encore plus moins mes BD allemandes dans mon armoire flamande,

Elle en a marre quand ma chambre est en bazar,

Et quand je dis bazar,

C’est un bazar bizarre.

Un bureau part regarder son reflet très beau,

Un salut de Dark-Vador qui dort dans mon lit,

Une rampe qui allume une lampe pour se déguiser…

Une chambre c’est vraiment pas de l’ambre.





Par Yris

Dans ma chambre...

Dans un miroir se voit un chat noir,

Ma commode aime la mode,

Un bureau boit un verre d’eau,

Le livre est ivre de vivre,

Une rampe allume une lampe,

Mon lit mange ici,

Ma tante compte des plantes,

Tant pis si mon tapis bavarde,

Un cristal rêve d’avoir un cheval,

Ma brosse à cheveux pêche un vœu,

« Ouf ! » dit mon pouf,

Le coussin chasse des oursins,

Mes jouets courent après un poulet,

Tout un armement de déguisements meurt,

Un drap tombe sur mon cadre,

Ma console déplume un tournesol,

Le coffre plaint une offre,

Le déroulement de vêtements marche,

Des fleurs rient d’une erreur,

C’est bien !






Par Léa

Si ma chambre c’était…

Une commode qui mange à la mode des cornichons,

Un lit qui dort sur un « lico »,

Une console qui joue à la casserole,

Des poupées qui jouent avec des joujoux,

Une moquette à moumoute qui bave,

Un miroir qui se moque de « badoire »,

Un fauteuil à « badeil » qui bloque,

Une lampe qui tapisse de l’ombre,

Un tapis qui bronze chez ma tatie,

Un placard à plumes qui plume un plumeau,

Ce serait rigolo !




























ET SI ON SE PRESENTAIT EN FAISANT DES

ACROSTICHES…


TEXTES ECRITS LE 28 MAI.


Mathieu est mon prénom,

Antoine est un de mes copains,

Tunisie, j’y suis allé en vacances,

Homo sapiens sapiens est mon espèce,

Iris est une de mes camarades de classe,

En Allemagne j’y ai déjà habité,

Uriner est ma passion.



Bonjour my name is Brian,

Rouler en moto j’aime bien,

Immortel je suis,

Angy est mon cop,

Nelly est ma sœur.


Deuxième prénom :

Nelly est ma sœur de chez ma mère

Olympique de Marseille j’adore,

Annie est ma directrice,

Mégane est ma sœur.



Salomé déteste les araignées,

A les cheveux châtains.

Les spaghettis à la bolognaise c’est mon plat préféré,

On en a mangé hier à la cantine.

Mon sport préféré c’est la danse,

Elle adore regarder les clips à la télé.







Leïla a des lunettes bleues et vertes,

Etre avec mes amis, j’aime bien.

Intéressée par les nombres décimaux,

Lire les romans j’adore ça.

Algérienne je le suis un peu.



Garry, j’ai 10 ans, je suis en CM1,

Aime les animaux : 12 chats, 2 oies, 2 perruches, 7 chienchilas, 1 hérisson.

Ras le bol du centre !

Rapide je me faufile entre mes animaux.

Yeah !!!! Santiano…



Poitiers c’est là où nous habitons,

Oh ! J’adore cette ville,

Il y a le centre du Baobab situé à Bel-Air,

Tout le monde est heureux dans cette ville,

Il y a une reproduction de la statue de la liberté,

En 732 Charles Martèle y a repoussé les arabes,

Ricaner est la spécialité de ses enfants,

Sur sa commune il y a la fête foraine une fois par an.





















petite histoire fantastique d’un arbre dans le centre de loisirs du baobab.


Textes écrits le mercredi 4 juin


Par Salomé.

L’arbre qui adore jouer.

C’est l’histoire d’un arbre qui un matin a pris vie. Il était grand avec pleins de branches multicolores. Il avait un trou au milieu de son tronc. C’était son œil. Il marcha dans le centre tout doucement. Il rentra dans la salle de goûters. Il trouva de la confiture à la fraise, il essaya d’attraper le pot mais le fit tomber sur lui puis il s’endormit. L’après-midi un enfant rentra dans le centre et vit l’arbre. L’enfant crut que l’arbre avait mangé quelqu’un et il s’enfuit. Quand l’arbre se réveilla il était plein de confiture. Tout à coup il entendit : « aidez moi ! ». Il se retourna et vit un porte manteau.

« Comment t’appelles-tu ? »

« Je m’appelle porte manteau, mais s’il te plaît, décroche-moi du mur. »

« D’accord » dit l’arbre.

L’arbre décrocha le porte manteau et ils s’amusèrent dans le centre toute leur vie.


Par Leïla.

L’arbre imaginaire.

Il était une fois, un arbre qui parlait. Une nuit, il se réveilla et se balada dans le centre. Mais il trouva un enfant. L’enfant ne savait pas ce que c’était. L’enfant dit : « qui es-tu ? ».

L’arbre dit : « je suis un arbre imaginaire et je vais te manger ».

L’enfant courut dans le centre et s’assit sur un canapé. Mais l’arbre transformé en canapé, l’avale et le mange. Comme dans le centre il y avait plein de sang, l’arbre le but. Le lendemain les enfants venaient au centre et ne savaient rien car il n’y avait pas d’indice. Et chaque nuit l’arbre mangea un enfant dans le centre.

Une nuit l’arbre se promenait quand il rencontra un balai. L’arbre dit au balai : « qui es-tu ? ».

Le balai qui s’appelait Poussière dit : « Je suis Poussière, un balai et toi ? »

L’arbre dit : « Je suis un arbre imaginaire, appelle-moi Arbre ».

Le balai dit : « Je suis jaloux de tes branches multicolores ».

L’arbre dit : « Je suis jaloux aussi de tes cheveux ».

Et ils devinrent ennemis car chacun était jaloux de l’autre.

Plus tard, il rencontra une balle qui lui dit : «  qui es-tu ? » d’un air amoureux.

L’arbre dit : « Je suis un arbre imaginaire » ;

La balle dit : «  Que tu es beau ! Veux-tu m’épouser ? »

L’arbre dit : « Non tu es trop grosse ! »

La balle dit : «  Je t’aime quand même… »

C’est comme ça que l’arbre a failli se marier.


Par Garry.

L’arbre à bêtises

Une nuit, un arbre dans notre centre de loisirs a mis le feu… L’arbre a joué au ping-pong, il a inondé la cuisine. Il se déplace avec les fils.

Le baobab téléphone à ses frères mais ils sont morts.

Et il téléphone à un pianiste pour lui jouer la 10ème symphonie.

Et il s’assoit sur une chaise, cette chaise était cassée par Manu.

Il va boire dans un verre sale qu’il casse.

Il se coupe les cheveux avec une triple paire de ciseaux et il repeint le piano en rose et en vert.

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